Promenade en toute quiétude? (PV: Tous les gentils qui peuvent venir)

Amérianne se matérialisa dans les ruines de la cité Impériale. On disait que cette cité avait été bâtie par un riche seigneur désirant propérer. Des imigrants sont alors arrivés pour s'établir et depuis ce jour, la cité n'avait pas cessée de prospérée et de s'agrandir. On dit aussi, qu'une incendie l'avait complètement ravagée et que les ruines qui restaient encore debout étaient celle de cette cité qui, avait t'on dit, avait été une cité d'un incroyable beauté, malgré qu'elle se tenait dans le royaume de la neige.

L'elfe ressera son manteau autour d'elle et marcha un peu. Elle frigorifiait, mais elle se sentait plus que jamais en harmonie avec le monde qui se trouvait autour d'elle.

Iruly l'avait fait grandement souffrir en brûlant une assez grande partie de son corps. D'ailleurs, elle se mettait a cicatriser, mais elle savait qu'elle resterait difigurée pour le reste de son existence si elle ne faisait rien. C'était pourquoi, dorénavant, elle portait un capuchon par-dessus sa tête. Le moindre de ses déplacements la fesait horriblement souffrir. Mais elle savait qu'un jour elle s'en remetrait. Si le destin à fait en sorte qu'elle finisse brûlée, il devait y avoir une raison. Jamais rien n'arrive pour rien.

Elle contourna ce qui semblait avoir été une maison et en effleura la paroi. Elle sentit le contact de la pierre froide sur ses doigts. Le froid parcourut le reste de ses membres. La jeune elfe frissonna. C'était un contact bien désagréable, mais elle en retira une lesson. Un objet pouvait s'avérer bien froid, mais un homme, malgré le fait qu'il ne laisse paraître aucune émotions, ne pourra jamais être aussi froid que la pierre. C'est un être capable d'éprouver des sentiments, contrairement à la pierre qui est quelque chose sans vie.

Bêtement, elle envisagea que même les êtres les plus cruels de ce continent pouvait faire le bien autour d'eux puisque c'était des créatures vivantes tout comme elle et tout comme les autres créatures ou humains habitant ce continent. Elle secoua la tête et se dit:

*C'est stupide, tu n'arriveras jamais à convertir des méchants en gentils. Ce serait un exploit presque irréalisable.*

Soudain Amérianna se tourna et perdit équilibre en débruchant sur quelque chose. Elle tomba sur le sol et se cogna violamment sur le sol. Elle reprit conscience remarqua qu'il y avait quelque chose sur elle. Elle ouvrit les yeux et aperçut deux grand yeux qui la regardait bizzarement. Elle remarqua qu'il y a avait un petit chat sur elle. Le chat prit un air faché et lui dit:

- HEY C'EST QUOI TON PROBLÈME DE TRÉBUCHER SUR MOI ET DE TOMBER SUR MOI PAR LA SUITE ! T'ES BEN MALADROITE !

Il se calma sauta a coté de la jeune fille qui était en train de se relever. Il grimpa sur le toit de la maison. Il n'avait pas froid et se sentait bien mais fustré...très fustré coudon les méchants ne l'aimait pas et la en plus une femme trébuchait sur lui. S'en était trop pour lui !

Amérianne avait des yeux bien surpris. Un chat roux qui parle! Elle s'assura que son capuchon était encore en place cachant sa figure.

-Qui êtes-vous? Comment se fait-il que vous soyez un chat qui parle?

Amérianne se surpris un peu de la brusquerie de ses propos. Elle tenta de se rattraper.

-Je suis désolé de vous avoir brusqué avec tout mes questions. Je n'ai pas l'habitude d'être aussi brusque avec le monde, seulement un chat qui parle, je n'en ai jamais vu. Je suis aussi désolé d'avoir trébuché sur vous. Je ne vous avait pas vu. Veuillez me pardonner.

Amérianne baissa la tête. Il n'était pas question que ce chat voit son visage pour rester traumatisé le reste de son existence.

Casiopée, qui fesait du yoga et avait même réussit à léviter du sol fut soudain intérompu par un miaulement puissant puis un gros ''toc''. Elle sortit de sa bule et tomba sur le sol. Elle se releva en vitesse et courut dans la direction du bruit. Elle descendit les marches deux par deux.

- Kyo je t'ai déja dit cent fois de ne pas faire trop de bruit que je... dit-elle, mais elle s'interropu en voyant Amérianne. Oh. Pardonnez moi, je vous ai prit pour quelqu'un d'autre. Dites, vous n'auriez pas vu soit un jeune garçons au cheveux roux ou un chat roux?

Casiopée regarda un peu autour.

- Je suis Casiopée. Donnez moi votre cape, je serai toute à vous après.

HJ: Vive les rassemblement de neutre!!! Ah et Kyo si ça te dérange d'être mon ami, dit moi le c'est juste qu'on est si peu de neutre... Je me sens seule...

-Effectivement j'ai vu un chat roux, j'ai même eu la malchance de trébucher sur lui.

Amérianne vit Casiopée regarder autour d'elle et lui dire :

-Je suis Casiopée. Donnez moi votre cape, je serai toute à vous après.

Amérianne n'était pas vraiment sûre de vouloir donner sa cape à Casiopée. Surtout à cause de son visage brûlé.

-Je ne pense pas que vous voudriez que j'enlève cette cape. D'ailleurs, je n'ai pas le goût que vous partiez en hurlant au meurtre. Je n'ai rien de méchant à cacher, seulement, mon visage.

Amérianne s'assura de nouveau que sa cape lui cachait bien le visage et regarda autour pour retrouver une trace du chat roux.

*Mais où peut-il bien être? Il était là il y a deux minutes de cela.*

HJ: Depuis quand tu as le visage brûlé?

- Soit, j'y consent à ne pas le regarder, toute fois, je pourrais peut-être y faire quelque chose... Lui dit Casiopée.

Elle regarda attentivement le visage assombri par le capuchon.

- Vous êtes... Demanda t-elle soupsoneuse tout d'un coup des intetions de la jeune femme. Et que vennez-vous faire ici?

Hj: Depuis que Iruly a mit le feu à une prairie, j'ai pogner en feu, je suis donc brulée maintenant XD. Pis je pense que c'est assez sévèrement en plus -_- XD.

-Vous pensez vraiment pouvoir faire quelque chose pour moi?

Amérianne avait soudainement une poussée d'espoir.

-Vous n'avez pas à vous méfier de moi, je suis simplement une elfe. Je me promenais simplement dans le coin. Je m'attendais à être seule. Je ne pensais jamais que je trébucherais sur un chat dans un coin aussi désert. En fait, je ne suis pas seulement elfe, je suis plutôt demi-dieu si vous voulez. Je me nomme Amérianne.

Amérianne releva la tête sans pour autant révéler son visage.